Compte tenu de la politique éditoriale de la Revue et du type de cas publiés, les principales raisons pour lesquelles un cas est jugé non recevable pour la RICG sont les suivantes :
1. |
Il s’agit d’un cas de recherche et non pas d’un cas pédagogique : il a été construit avec une théorie ou un cadre conceptuel qui transparaît clairement à sa lecture; il contient de nombreuses données et est très « riche », mais cette richesse n’est pas en lien avec des objectifs pédagogiques précis; il vise avant tout à appliquer une théorie ou à démontrer la valeur ou l’intérêt d’une théorie ou d’un appareillage conceptuel; il est très désincarné, pas assez vivant, pas assez dynamique. Pour en savoir plus sur ce point : |
2. |
Le cas manque d’envergure sur le plan pédagogique : il s’agit d’un exercice et non d’un cas; il vise des objectifs pédagogiques de faible niveau comme la compréhension ou l’application d’une théorie, au lieu de viser des objectifs pédagogiques de plus haut niveau comme le développement du jugement, la formation de la pensée critique, l’analyse en contexte, la prise de décision. Pour en savoir plus sur ce point : |
3. |
Le cas manque d’envergure internationale : la situation décrite est très idiosyncrasique et a peu d’intérêt pour un lectorat élargi, le contexte local du cas est insuffisamment décrit, ce qui empêche des lecteurs non familiers avec le contexte de bien le comprendre; les notes pédagogiques ne montrent pas comment la problématique du cas dépasse le contexte local décrit. Pour en savoir plus sur ce point : |
4. |
Les notes pédagogiques sont insuffisamment développées : les objectifs pédagogiques et les cours utilisateurs ne sont pas assez précis; le scénario pédagogique est peu convaincant ou pas assez développé; l’analyse du cas est trop sommaire ou trop superficielle, aucun appui conceptuel ou théorique n’est proposé, il n’y a pas de « réponses » aux questions proposées, etc. Pour en savoir plus sur ce point : |
5. |
Le cas n’est pas autorisé à être diffusé : le cas mobilise des données réelles non publiques, mais l’autorisation de diffusion de la part de l’entreprise manque; le cas mobilise des données publiques, mais introduit un scénario fictif dans lequel des personnes réelles sont nommées sans leur autorisation; le cas est basé sur des données réelles maquillées, mais le « maquillage » est insuffisant ou l’autorisation de l’entreprise manque; le cas prétend être « fictif, inspiré de situations réelles », mais on peut facilement identifier les entreprises ou les personnes dont il est sans doute question. Pour en savoir plus sur ce point : |
6. |
La qualité de la langue est insuffisante. Les cas soumis à la Revue doivent avoir fait l’objet d’une révision linguistique préalablement à la soumission. Les cas dont la qualité de la langue est jugée insuffisante seront renvoyés aux auteurs. |
7. |
Le cas est déjà diffusé ou publié ailleurs. |