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Membre des conseils d’administration de la Fondation de l’Institut de cardiologie de Montréal, de la Société des enfants handicapés du Québec et de la Fondation Bruny Surin, ainsi que président du Comité de financement du gala annuel de cette dernière, An-Lap Vo-Dignard est un philanthrope assumé. D’ailleurs, il investit de 10 à 15 heures par semaine pour appuyer les causes qui lui tiennent à cœur. Sa devise : « Charité bien ordonnée commence par soi-même ».
Depuis 2002, il organise le Gala de charité Vo-Dignard Provost, qui a permis d’amasser 300 000 $ en 2016 pour soutenir plusieurs causes, dont la Fondation HEC Montréal.
« Certaines personnes imaginent que l’engagement est une bonne avenue pour le développement des affaires, mentionne An-Lap Vo-Dignard. Si mes associés et moi avions investi notre temps dans le développement des affaires plutôt que dans l’engagement social et le bénévolat, il est évident que cela aurait été plus rentable pour notre firme. Mais beaucoup moins rentable en ce qui a trait à nos valeurs. »
Ces valeurs qui lui sont chères, il les veut contagieuses. Il est d’ailleurs bien engagé auprès de l’École. En effet, en mars 2015, il s’est joint au Conseil des Gouverneurs de HEC Montréal, qui regroupe des gens d’affaires apportant à l’École un appui inestimable dans la réalisation de sa mission. Faisant aussi partie du Club des 100 de HEC Montréal, An-Lap Vo-Dignard souhaite stimuler l’intérêt pour la philanthropie chez les jeunes diplômés.
Cette fibre sociale des plus naturelles lui a permis d’être nommé Conseiller le plus engagé dans sa communauté en 2014, lors du gala du Top 25 de l’industrie financière du Québec. Ça ne l’a surtout pas empêché de briller dans son travail, au contraire. Dans le cadre du programme d’excellence de la FBN, il a été récompensé à plusieurs reprises : Équipe de l’année au Canada (2012), Recrue de l’année (2001), Croissance de l’actif (2001, 2004 et 2005) et Responsabilité sociale (2008).
Comme quoi ces deux notions se rejoignent parfaitement bien en fin de compte.
