C’est bien connu, les Jeux du commerce constituent un événement intensif et extraordinaire, qui incite les participants à donner le meilleur d’eux-mêmes. Si les compétitions interuniversitaires ont pour mission de favoriser les relations d’affaires et de créer des liens durables, les expériences de Catherine St-Pierre, HEC Montréal 2016, et d’Alexandre Pontbriant, HEC Montréal 2014, n’ont pas fait exception à la règle, bien au contraire :
« Dans notre cas, c'est particulièrement vrai, puisque cinq ans plus tard, les Jeux du commerce représentent un moment fort de notre formation ainsi qu’un moment marquant de notre union! »
Alexandre avait terminé son B.A.A. à l’époque et agissait à titre de parrain de la délégation pour entraîner la cohorte de participants vers la victoire. En effet, HEC Montréal s’est hissée dans le peloton de tête une fois de plus cette année-là, en 2015. Quant à Catherine, elle étudiait au B.A.A. - concentration marketing, soit le même domaine que son « futur ».
Catherine est actuellement gestionnaire en marketing pour L’Oréal Canada. Quant à Alexandre, parions qu’il aura sa propre entreprise un jour! Pour s’y préparer, il s’adonne à sa passion au sein d’Avant-Garde Artisans Brasseurs, et ce, après avoir cumulé les défis en marketing au sein de gros joueurs comme Bell, Pages Jaunes et LG2. Or, les deux tourtereaux insistent : ils sont ressortis de HEC Montréal avec des apprentissages qui dépassent largement le cadre de leurs cours!
« HEC Montréal évoque en nous un fort sentiment de reconnaissance, car nous avons eu la chance de faire des rencontres exceptionnelles en plus d’avoir été soutenus par de nombreux professeurs, diplômés et professionnels du milieu. C'est d'ailleurs pourquoi nous redonnons à notre façon, en agissant notamment comme juges lors des compétitions académiques »
« Nous sommes encore très attachés à notre École! Oui, le rayonnement international et le prestige de HEC Montréal suscitent beaucoup de fierté, mais rien ne vaut toutes les expériences enrichissantes qui y sont offertes. C’est aussi de la passion des gens qui s'y impliquent dont nous sommes le plus fiers. À notre tour, nous espérons transmettre cette passion contagieuse auprès des étudiants qui nous succèdent. »