Tolga Cenesizoglu, nouveau directeur de l’Institut canadien des dérivés
28 juillet 2020
Le professeur titulaire Tolga Cenesizoglu sera le nouveau directeur de l’Institut canadien des dérivés à partir du 1er août 2020.
Dans le cadre de ce mandat renouvelable de trois ans, soit jusqu’au 31 mai 2023, il veillera à :
- définir les orientations stratégiques de l’Institut;
- développer des projets de collaboration avec l’industrie (mandats de consultation, de recherche, etc.);
- promouvoir l’Institut auprès de la communauté d’affaires et des associations professionnelles; et
- travailler au renouvellement de son financement.
« Mon prédécesseur, le professeur Pascal François, a accompli un excellent travail, souligne Tolga Cenesizoglu. Nous faisons face actuellement à un environnement unique, qui nous présente des défis et des occasions, par exemple la possibilité d’offrir toutes nos formations en ligne. Je suis ravi d’avoir la possibilité de travailler avec l’équipe dévouée de l’Institut afin de continuer son cheminement dans le contexte actuel et dans le futur. »
Lancé en 2011 en collaboration avec le gouvernement du Québec, l’Institut canadien des dérivés a pour objectif de promouvoir la saine utilisation des instruments dérivés, de renforcer l’expertise des acteurs dans ce domaine et de contribuer au développement du marché de la gestion des risques et des dérivés à travers le Canada.
Pour ce faire, l’Institut offre un programme de formations, des séminaires, un concours annuel de soutien à la recherche, un congrès annuel réunissant les meilleurs experts universitaires, en plus de publier des documents de recherche émanant des projets qu’il subventionne.
À propos du nouveau directeur
Professeur à l’École depuis 2006, Tolga Cenesizoglu est titulaire d’un doctorat en économie de l’Université de Californie. Ses champs d’intérêt d’enseignement et de recherche concernent principalement la gestion de portefeuille et des risques, l’évaluation des actifs, l’économétrie financière, l’apprentissage automatique, les mégadonnées et la microstructure du marché.