La médaille du lieutenant-gouverneur pour la jeunesse décernée à 4 étudiantes de l’École

Audrey Bélanger est étudiante au doctorat en administration (Ph. D.) – comportement organisationnel et ressources humaines. Elle s’implique spécialement pour la défense des intérêts de la jeunesse et des femmes. Notamment, elle est mentore pour l’organisme Academos, qui connecte des jeunes de 14 à 30 ans avec des professionnelles ou professionnels, par l’entremise d’une application numérique. Elle siège également au comité contenu de l’organisme de défense des droits des jeunes, Force jeunesse. Elle est membre du comité de direction du Réseau international des femmes doctorantes et docteures (RIFDOC), qui vise à favoriser l’entraide, la solidarité et le partage de connaissances chez les femmes en recherche. Titulaire de plusieurs bourses d’excellence, Audrey se distingue aussi de manière exceptionnelle sur le plan scolaire avec des moyennes de 3,88/4,3 à la maîtrise, et de 4,15/4,3 au doctorat, en plus d’avoir réalisé un mémoire rigoureux (A+). Elle s’illustre également en recherche, ayant à son actif 4 communications dans des congrès scientifiques. Elle a par ailleurs été récompensée du prix de l’article étudiant le plus innovant dans le cadre de la conférence annuelle de l’Academy of Management.

Audrey Laliberté poursuit ses études en vue d’obtenir une maîtrise en gestion (M. Sc.) – innovation sociale. Elle s’engage depuis plusieurs années en faveur de la cause environnementale. En effet, durant ses études au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue, elle a été la présidente du comité environnemental au sein duquel elle a mené, entre autres, un projet visant à bannir la vente de bouteilles d’eau à usage unique et parallèlement, à mettre en place un système de gourdes consignées. À son arrivée à Montréal, Audrey a contribué à la création de L’OBNL La vague, qui a pour mission d’accompagner les commerces alimentaires dans leur transition écoresponsable. Elle participe également au programme Cap Campus de l’Université de Montréal, en offrant des conférences pour sensibiliser les jeunes aux études universitaires et encourager la persévérance scolaire. Elle a remporté plusieurs prix et bourses : le prix Osentreprendre, volet national, en 2017; une bourse d’engagement social remise par le syndicat des enseignants du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue, en 2018; et la Bourse Daniel Boisvert remise par l’Université de Sherbrooke, en 2019.

Cyrine Mansri réalise un microprogramme de 2^e cycle en gestion des organismes culturels. Ses études de premier cycle à l’UQAM en géologie, en animation culturelle et en communication l’ont amenée à se passionner pour l’animation scientifique. Durant son bac, elle a été la coordonnatrice du groupe étudiant Parlons Sciences de l’UQAM, ce qui l’a notamment conduite à offrir des ateliers de science virtuels aux enfants, durant la pandémie. Ces activités dans son milieu universitaire lui ont valu d’être nommée meilleure coordonnatrice de l’année, en 2020. L’année suivante, elle a aussi remporté une bourse d’implication étudiante (catégorie personnalité persévérante). En dehors de ses études au microprogramme à HEC Montréal,

Cyrine Mansri travaille comme chargée de projets éducatifs et de contenu scientifique au Cosmodôme. En plus, depuis plusieurs années, elle est bénévole au festival Eurêka et lors de l’événement 24 heures de science. Plus récemment, elle a accepté de siéger bénévolement aux conseils d’administration des organismes qui organisent ces 2 événements, soit Science pour tous et L’île du savoir.

Gabrielle Plourde étudie à la maîtrise en management et développement durable. Depuis son arrivée à HEC Montréal, elle multiplie les initiatives qui vont dans le sens de la transition socioécologique. Comme avec Enactus HEC Montréal, un comité étudiant qu’elle a présidé pendant l’année scolaire 2022-2023 et qui vise à promouvoir l’innovation sociale et le développement durable par l’entrepreneuriat. Gabrielle Plourde a aussi pris part à l’organisation du Défi RSE, un concours étudiant international au MBA qui porte sur les défis en matière d’écoresponsabilité et de responsabilité sociale des entreprises. Enfin, elle est membre du conseil d’administration du Groupe Humaniterre, un organisme qui vise à sensibiliser la communauté étudiante montréalaise aux enjeux du développement durable. Mentionnons qu’elle a brillamment représenté HEC Montréal lors de la finale montréalaise du concours Map the System Canada en terminant à la 1^re place. Son projet de recherche visait à faire la lumière sur les causes systémiques de l’itinérance jeunesse à Montréal et ses potentiels leviers de changement. Elle a versé une partie de la bourse remportée dans le cadre de ce concours au Refuge des Jeunes de Montréal